samedi 26 janvier 2013

Emprunts à la bibliothèque # 1

Bonjour ami(e)s lecteurs, lectrices, 
En attendant mon futur avis de lecture, je voulais partager avec vous les nouveaux venus, pour un temps, sur mes étagères. Vendredi, j'ai été à la bibliothèque de l'Alcazar (ma bibliothèque habituel, dont je vous ferais un billet prochainement) et j'en suis sortie avec trois livres. 

Depuis pas mal de temps déjà, beaucoup me conseillaient de lire Joyce Carol Oates. Il y a quelques jours, Suzan, une amoureuse des mots me conseillait vivement la lecture de Nous étions les Mulvaney. Seulement voilà, il était déjà emprunté (je l'ai réservé) mais en attendant, il me fallait un autre ouvrage. Voici celui que j'ai choisi : 


Présentation de l'éditeur :
Jusqu'où ira une femme amoureuse pour rappeler à elle son fiancé enfui ? Jusqu'où mène l'amour ? Jusqu'à quels sommets de cruauté, de perversité, de séduction ? Tel est le thème central des Mystères de Winterthurn.A la fin du XIXe siècle, au manoir de Glen Mawr, situé dans la ville de Winterthurn à l'est des États-Unis, vit l'étrange famille Kilgarvan qui se compose de trois filles : Georgina, l'aînée, dite La Nonne bleue", et ses deux demi-sœurs qu'elle élève seule, la sage et studieuse Thérèse et la jolie, fantasque et perverse Perdita. A l'aube d'une journée de mai, la Nonne bleue s'en va mystérieusement en ville acheter cinquante livres de chaux vive. Peu après, on retrouvera le bébé de sa cousine Abigaïl, venue quelques jours en visite, égorgé près du lit de sa mère. La vérité sur ce meurtre atroce, mieux aurait-il valu, sans doute, ne pas la découvrir. Douze ans plus tard, cinq jeunes filles sont retrouvées mortes, atrocement mutilées, près de Winterthurn. Et, douze ans après, c'est le pasteur, sa mère et une de ses paroissiennes qui sont sauvagement assassinés à coups de hache. Chaque fois, la clé de ces mystères épouvantables va être la même, nous le devinons bien : jusqu'où ose aller une femme amoureuse ?Joyce Carol Oates sait décrire comme personne ce qu'il y a de plus noir au fond des êtres. Elle sait aussi toucher notre imagination dans ses zones d'ombres les plus secrètes. De cette société rigide du tournant du siècle, elle dénonce inexorablement les tabous et les interdits.Les mystères de Winterthurn est un livre foisonnant, frémissant, étrange et somptueux, où le diabolique frôle parfois le comique dans la plus pure tradition du roman noir.

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Depuis l'année dernière, et les fameux Carnets de route de François Busnel, diffusé sur France 5 (maintenant sortis en DVD, que j'espère pouvoir me procurer), j'avais une folle envie de découvrir deux auteurs : Jim Fergus et Dan O'Brien. Je me suis donc déniché deux romans, qui me permettront de faire connaissance avec la plume de ces deux auteurs. Il s'agit de : 





Présentation de l'éditeur :
En 1874, à Washington, le président américain Grant accepte dans le plus grand secret la proposition incroyable du chef indien Little Wolf: troquer mille femmes blanches contre chevaux et bisons pour favoriser l'intégration du périple indien. Si quelques femmes se portent volontaires, la plupart des "Mille femmes" viennent en réalité des pénitenciers et des asiles de tous les États-Unis d'Amérique... Parvenue dans les contrées reculées du Nebraska, l'une d'entre elles, May Dodd, apprend alors sa nouvelle vie de squaw et les rites inconnus des Indiens. Mariée à un puissant guerrier, elle découvre les combats violents entre tribus et les ravages provoqués par l'alcool. Aux côtés de femmes de toutes origines, May Dodd assiste alors à la lente agonie de soi, peuple d'adoption...




Présentation de l'éditeur :
Spécialiste des espèces en voie de disparition, Dan O’Brien a œuvré à la réintroduction du faucon pèlerin dans les Rocheuses. Il fait un jour le pari fou de réapprendre la vie sauvage à Dolly, une femelle née en captivité. De la frontière canadienne au golfe du Mexique, leur voyage initiatique dessine une amitié hors du commun entre l’homme et l’animal. «De cette œuvre se dégage une dignité à couper le souffle. J’insiste : quiconque s’intéresse aux oiseaux et à la nature doit lire Rites d’automne.» Jim Harrison


Voilà encore de quoi passer d'excellents moments de lecture. Et vous quels sont vos derniers emprunts à la bibliothèque ? 

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